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2021 | Novembre - Bastille Design Center - « Passerelle de l’art » 1er - 21 Juin - Espace ANDRÉE CHEDID - Issy-les-Moulineaux "Écrire l'Idée" en poésie, symboles et typographie. |
2020 | 5-6 Octobre - Journées de l'Estampe (stand 200) - Paris |
2019 | Juin 2019 - Marché de la Poésie (stand 222) et Journées de l'Estampe (stand 200) 9 octobre -10 décembre- Cathédrale de Créteil (94) 9ème Rencontre |
2018 | Août-Octobre - Abbatiale et cloître de BOSCODON (expo personnelle) 2-13 octobre - Société de Saint Jean - PARIS 11-21 octobre -salon d'Art Sacré- Saint-Germain l'Auxerrois - PARIS 9-11 novembre -Biennale d'Art Sacré -REIMS |
2017 | 8-9 avril -ART EINDHOVEN - stand 111. EINDHOVEN (NL) 12 juin JOURNÉE de l'ESTAMPE Paris 4 octobre -13 décembre- Cathédrale de Créteil (94) 8ème Rencontres "EXODE" |
2016 | MARCHÉ de la POÉSIE et JOURNÉE de l'ESTAMPE 8-13 juin REIMS 18-20 Novembre : "ART SACRÉ ACTUEL" SAINTES 10 - 23 décembre "SALON DU PETIT FORMAT" |
2015 | "TRACES" 6ème Salon des Arts de Sèvres / 30 janvier - 8 février 2015 |
2014 | PARIS 28-30 Novembre - SALON PAGE (s) - Livres d'Artiste et bibliophilie contemporaine PARIS Octobre - SALON D'AUTOMNE PARIS 17 février - 2 mars: Galerie ARTES "DU PAYSAGE À L’ESPACE SYMBOLIQUE" |
2013 | "B.A.S.A" 9ème Biennale d'Art Sacré Actuel Septembre-Décembre 2013 Lyon |
2012 | "OBÉIR à GAVRINIS" Livre d'artiste constitué d'un ensemble de 18 eaux-forte polychromes et d'un long poème d'Antoine de Vial. Préfacé par Charles-Tanguy Le Roux (ancien Conservateur Général du Patrimoine) avec une postface de Denis Vialou (Professeur au Muséum National d’Histoire Naturelle). Présentation des 18 gravures de Gavrinis et du livre d’artiste "Obéir à Gavrinis" à Port Navalo, 8-21 juillet Salon des HIVERNALES novembre 2012 (Paris Montreuil) |
2011 | "ENTRE CIEL ET TERRE" Chapelle Saint Cyprien à ANSE (69) , 10 septembre - 9 octobre «FORMES CELESTES ET IMAGES DE CE MONDE» ÉGLISE NOTRE DAME D'ESPERANCE 47, rue de la Roquette 75011 PARIS. 2-12 décembre |
2010 | SYMBOLES & ART SACRÉ , Agence nationale pour les arts sacrés, Cathédrale d'ÉVRY (91000): 13 mars- 11 avril Accompagnée d'un propos d'Antoine de Vial sur une oeuvre exposée FLEURIR C'EST ABOUTIR (Emily Dickinson) Chaque saison, chaque peintre porte l'espoir d'un jour parfait ou d'un tableau abouti dans sa simplicité. Je contemple une toile carrée, d'un format modeste, baptisée par son auteur : « l'arche » (2008). |
2009 |
LYON, Université Jean-Moulin (lyon 3) et Chapelle des Assomptionnistes de VALPRÉ - Novembre Après une visite à l'atelier : Gilles, Tes couleurs me plaisent M’attirent vraiment, j’aimerais les avoir souvent sous les yeux. Mais c’est vrai aussi que tu les ordonnance dans des promiscuités audacieuses, Que je n’aurais pas imaginé et ça fait du bien de les voir côte à côte Inlassablement Tu réalise la liberté qu’on allait stupidement chercher dans la conquête de territoires nouveaux, tu anéantis les épopées colonialistes, tu développe une révolution immobile Tu signifies le bonheur de vivre : tu nous livre à domicile nos ambitions les plus folles Rufus Septembre 2009 |
2008 |
crypte de La Madeleine - mars/avril - PARIS préfacée par Antoine de Vial Préface à l'exposition de La Madeleine - Paris 2008 Gilles Alfera, c'est, pour moi, la vibration de couleurs dans un dessin, dans une rigueur. Sensualité et ascétisme se mêlent dans un pari : celui de la rencontre entre le monde de la présence et celui de l'absence. La peinture de G.A. ne suggère pas, elle affirme l'esprit comme ses choix de couleurs révèlent la lumière dans une tentative de s'abolir en elle. Il y a dans ce peintre une douceur de ton - pleine de violence et parfois de colère. J'aime cette héraldique de la transcendance dans sa recherche de simplicité qui tente dans sa logique d'intérioriser et parfois d'aller plus loin que les symboles... Je pense que l'arrivée de G.A. dans les contraintes des techniques du vitrail le pousseront dans une logique du dépassement. Il vient un âge où nous sommes invités à unifier nos vies : cela n'a rien à voir avec les "tentations" de l'abstraction! G.A. est un peintre qui progresse : j'attends avec curiosité son travail de demain. G.A. fonctionne comme la marée de l'Atlantique : il couvre et il découvre, non pas tour à tour, comme l'océan, mais en même temps. Antoine de Vial VENISE/PARIS, Centro San Léonardo /Venezia - Octobre PARIS, Centre Culturel d'Égypte - Novembre Peintre, graveur, illustrateur d'ouvrages littéraires, créateur de vitraux, Gilles Alfera a développé une œuvre empreinte d'une très forte spiritualité chrétienne, dans laquelle le recours au symbolisme de l'art sacré est à l'origine d'une créativité très fortement intuitive. Nouvelle Rive Gauche N°333 decembre 2008 |
2008 | crypte de La Madeleine - mars/avril - PARIS préfacée par Antoine de Vial |
2007 | Marché de la Poésie - juin PARIS |
2005 | "Entre Ciel et Terre, la vision d'un peintre" 16-25 septembre - Salle Saint-Martin, Horbacher Str.55 - AIX LA CHAPELLE |
2004 |
" DU SPIRITUEL DANS L'ART " Centre Culturel de Viroflay(78). Avec le peintre de l'Invisible AMOUREUSE DE LA PRÉCISION, la parole du peintre est ponctuée de silences. Le temps de chercher le mot juste, l'image fidèle. Pourtant, la relative austérité, l'évident raffinement de Gilles Alfera ne dissimulent pas sa chaleur humaine. "Peindre est pour moi un art de vivre, insiste-t-il : se confier à ce que la vie donne, se convaincre qu'elle fait pour le mieux. Et peut-on la trouver belle sans la risquer ?" Après 40 ans de recherche esthétique, intellectuelle et intérieure, l'artiste sait de quoi il parle. Il sait aussi que l'art est une porte ouverte sur l'univers du spirituel, qu'il arpente en couleur par ses deux sentiers favoris: le symbole et la nature. "Avec ma vieille camionnette, raconte-t-il, je pars à l'aventure, en quête de paysages. Auxerrois, Lubéron, Corbières... je roule jusqu'à ce que se découvre la beauté, accrochée parfois à d'infimes détails: la couleur d'un sillon, le tracé d'une haie, la tension d'un arbre. Pour la saisir au plus vite sur la toile, je me recueille un moment face au motif. Mes gestes sont alors d'une grande intensité, et parfois, il me faut crier comme pour écarter ce qui pourrait "faire obstacle". Je sais l'esquisse terminée lorsqu'un merci monte à mes lèvres." revue PRIER décembre 2003 |
2003 | Marché de la Poésie " (Juin-Paris) |
2002 | Juin :"Nuit cent peintres" et "Marché de la Poésie" PARIS - PAGE Salon de Bibliophilie Contemporaine.(Novembre, Paris) |
2001 |
Juillet-Août TOURNUS Juin :«Nuit cent peintre» et «Marché de la Poésie» PARIS |
2000 |
«Nuit cent peintre» et «Marché de la poésie» PARIS PAGE Salon de Bibliophilie Contemporaine. Galerie La Fleur d'Or - PARIS Introduction de Zygmunt Blazynsky Etrange cette peinture ou l’on devine espace et liberté alors que sa composition semble un cloisonné de couleurs uniformes ! |
1999 |
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1998 |
AIX LA CHAPELLE, décembre Salon de la petite édition - Quimper Illustration du "Missel des Dimanches" Retrouvant les exigences d'une Église soucieuse d'art, les promoteurs du MISSEL DES DIMANCHES visent haut : nul doute que la beauté puisse aussi introduire au mystère de la foi. Même dans un livre de poche, bon marché et éphémère ? Pourquoi pas.! Renonçant au prestige du sublime l’œuvre d'art peut aussi s'insérer plus prosaïquement dans notre vie la plus quotidienne. Et pour G. Alfera, le MISSEL DES DIMANCHES en l'occurrence c'était une occasion rêvée. "J'ai apprécié surtout le côté furtif du missel. II ne représente qu'un instant, sans valeur au sens marchand du terme. Puisque le jour de Dieu c'est à tout instant maintenant, le MISSEL DES DIMANCHES est un objet adéquat pour véhiculer quelque chose de l'ordre du sacré". Et G. Alfera de faire en sorte qu'au gré des illustrations, le lecteur s'ouvre à cette présence divine. Comment ? II s'en remet d'abord à son propre cheminement qui le force à un retour aux sources. Alors que l'invention artistique s'essouffle n'est-il pas temps de la revigorer en recourant à l'héritage. En essayant de comprendre intimement ce qui pendant des millénaires a pu animer des artistes dont l'activité ordonnée se voulait servante du sacré. Telle est la vocation affirmée de G. Alfera, contemporain d'hier et d'aujourd'hui. "Je suis un plasticien et je fais des formes qui sont celles de la tradition chrétienne". Quoi de plus révélateur à cet égard que la couverture du missel ? Pour être dans l'époque avec son aspect bien géométrique et ses aplats à la N. de Staël elle n'en évoque pas moins le passé par le thème et la façon de le dramatiser. Sous nos yeux, une crypte dont on voit qu'elle est la partie la plus centrale et la plus profonde de l'église. L’impression d'être au fond d'un puits ? Peut-être. Mais s'élevant vers le clocher, un grand trait de lumière vaut à la foi élan et allant. Fini l'espace comme un non lieu sans histoire. Éclairé par le symbole il révèle sa tension secrète : là se joue le sort de l'humanité et s'ouvre la perspective du salut. A condition que l'horizontalité des possibilités humaines rencontre la verticalité de la volonté divine. La Croix comme repère entre tous. De l'art pour l'art, G. Alfera n'en a cure. Commentant son travail il paraphrase ainsi l'injonction du Christ à Thomas : "Porte la main et entre dans mon côté". Quelle étrange coïncidence avec le projet d'un artiste qui donne à voir pour mieux ouvrir à la foi : "créer des formes bienfaisantes qui disposent le fidèle". Collant aux textes jusqu'à s'en emparer parfois, les illustrations du MISSEL DES DIMANCHES 99, une trentaine au total, sont ainsi à l’œuvre. La Lettre du Missel des Dimanches. Le Cerf, 29 boulevard Latour Maubourg 75007 |
1997 |
MARCHÉ DE LA POÉSIE . auquel il participe depuis 10 ans Galerie des Remparts d'Ainay, François GAUTHIER, LYON. présentation de Jean Mathieu in revue "GOLIAS" Gilles Alfera est de ces hommes qui savent se faire légers à la terre qui les porte, il est de ceux qui savent l'aimer, aller au delà des premières apparences, inviter à ce voyage qui nous entraîne au plus profond des êtres et des choses vers leur vie tranquille (nous disons nature morte mais la langue anglaise, elle, parle de vie tranquille). |
1996 |
Fondation HEWLETT-PACKARD France. DU SENS D'UN SILENCE |
1995 |
" La Petite Galerie " rue de Seine, Paris. Poème de MARCEL RIST pour un tableau de Gilles Alfera LA COULEUR ET LE TRAIT La couleur déborde sur l’épaisseur du trait bientôt le trait sur la couleur ils alternent se mêlent ; maintes fois, l’un sur l’autre s’appuient, s’étreignent dans l’austère désir de prière de l’un pour tous de l’un pour l’un creusante et laconique. |
1994 | D'UNE PEINTURE CHRÉTIENNE CONTEMPORAINE, Crypte de Saint Pierre du Gros Caillou, Paris. Edition de : " Supplique pour parvenir au bon usage de l'oeuvre " (Une prière ouvrière préfacée par un moine) |
1993 | Galerie "La Collezionne", TOKYO. |
1992 |
Librairie-Galerie de Luc MONOD et Sylvain COMBESCOT présentation du : " Petit précis journalier de la Voie " (TAO TE KING) Galerie de la Mairie du 7e. Paris « Un livre d’artiste, pour moi, c’est d’abord à l’origine, l’amour d’un texte. Je suis peintre et le texte ici joue le rôle du paysage dans lequel on a deviné une beauté que l’on voudrait exprimer pour la rendre partagée... Assez curieusement le souci des images, des illustrations viendra plus tard : la première tension, le premier appétit, s’éveille au désir d’offrir à ce texte un beau format, un bel étui, une heureuse typographie et quelques audaces de mise en page...comme on aime à préparer la chambre pour celle que l’on reçoit ! Je voudrais que le texte devienne image, que les lignes deviennent courbures aux flancs des collines, que l’idée qui surgit de la lecture soit autant de verticales arborescences... Je voudrais que le regard s’attarde à une phrase comme on tente par-dessus la haie à deviner la prairie...peindre avec des mots, peindre avec des signes, peindre avec le blanc du papier et le soleil des marges ! Le livre dont je rêve - car tout cela n’est qu’imagination - tout comme « mon » tableau de peintre, un jour, le ferais-je ? Toute la vie de l’artiste s’ordonne à l’accomplissement de cet unique coup de pinceau par lequel tout enfin est dit... Pour l’heure, à mes livres d’artiste - ou de peintre?- j’offre des illustrations (comme ce mot est malsonnant), ce sont des eaux-fortes polychromes car j’aime la couleur. Elles sont de vraies images bien visibles, bien campées là, en bordure du texte, en bordure du sillon avais-je envie d’écrire. Elles ne sont pas des dévoilements de la beauté des phrases mais un pagne, un voile posé ici, judicieusement pudique, pour reposer le regard et apaiser la fièvre de « voir » ce que proclament les mots... » Gilles Alfera In : « L’art à la page » Cagnes sur Mer 1992 pg.26. |
1991 |
Galerie "Les Argonautes"-Lyon. ART INTENTIONNEL DE GILLES ALFERA « Dieu t’est-il si nécessaire, n’as-tu pas l’alcool, le tabac, les femmes ». Cette interrogation d’André Spire ne possède nul caractère de prosélytisme. Il interroge. Il se demande si, dans cet univers matérialiste, il existe encore une place pour regarder ailleurs, et, se demander si des alternatives autres ont de la chance de retenir les poètes et les artistes. RENE DEROUDILLE Lyon Matin, Mardi 24 Décembre 1991 n°3633 |
1990 |
Edition de son 5e livre d'Artiste : " Le chant du bienheureux Seigneur " (Bhagavad Gitâ préfacée par un trappiste) |
1989 |
Edition des 12 poèmes de CANTIQUE préfacée par Gérard de Sorval. ACCOMPAGNEMENT Le poète est celui qui s'en va cueillir le silence avec des mots. Mais avec quels mots magiques attraper le Silence infini, Celui qu'il a été convenu de désigner sous le nom de code de "Dieu" ? Aucun sans doute, puisque c'est de Lui que germe la Parole, et tout balbutiement. Pourtant, ne dit-on pas que l'alphabet - la semence des mots sert à la Parole pour exprimer le Silence et édifier l'univers ? Et que cette harmonie des mondes Le chante d'instant en instant? Alors il reste peut-être à étendre par terre un filet de soie - un filé de Soi - tissé de simples lettres, en espérant qu'un peu de la rosée du Ciel s'y déposera à l'aube, lorsque le c?ur recru, ayant déposé tous les mirages des constructions humaines, renaît à nouveau du Silence... Dans la nudité de l'accueil se recueille la clarté miséricordieuse de la Vierge. Du tréfonds du c?ur jaillit le lait d'étoiles qui lave les âmes simples. La transparente lueur de l'acceptation donne pouvoir aux fleurs des signes et des mots d'éclore dans la Vérité du cri d'Amour qui déchire le voile du Silence. Alfera grave les signes dans les lettres et il a raison : les lettres sont les tuteurs primordiaux où s'accroche la lumière créatrice du Verbe. Elles forment le chandelier, mesuré et nombré selon d'antiques règles, où descendent les langues de feu de l'illumination. G É R A R D DE S 0 R V A L |
1988 |
présentation du livre "L'Arrière-Garde" texte de Vincent La SOUDIERE avec 4 gravures. Salon du livre à Lyon, section "Bibliophilie" |
1986 |
Edition d' "ANNA", 4 gravures et poèmes de l'auteur (In 1/2 Raisin , pliage accordéon) |
1985 | Galerie de la Maison Mansart. Paris |
1982 |
Galerie "Le Lucernaire", Paris. Pour ceux qui ont connu ma peinture d’hier cette exposition pourra surprendre car la trame et la perspective symbolique ont fait place à la texture des paysages. Une étape sur le chemin, un moment de paix retrouvée ou...trouvée, un moment de silence le silence des quelques pas d’une promenade, une attente aussi. Suis-je à l’estuaire ? Peut-être... La source est lointaine encore. Ces paysages, je les ai longtemps cherchés et longtemps désirés, je les ai guettés attendus, épiés, mais rien ne venait...Alors j’ai repris les mêmes chemins ceux des Causses, de l’Ardèche ou du Vexin en cessant de les chercher , de les vouloir je me suis présenté à eux et ils m’ont vu. Il y a dans la nature, dans ma nature, un oeil qui parfois s’ouvre et dévoile un instant la beauté. Cette clef du paysage est accrochée à d’infimes détails la couleur d’un sillon, le tracé d’une haie, un arbre tendu ; parfois ce n’est ni ceci ni cela mais quelque chose dont a jailli le regard. Il serait beau, qu’un jour mes toiles puissent évoquer un peu ce regard. Ma peinture a changé ? Un petit peu, pas plus.... Avertissement de Gilles Alfera à l’exposition du Lucernaire; PARIS 1982 |
1981 |
12 gravures et poèmes (In 1/2 Jésus) pour des fêtes Juives, Chrétiennes et Musulmanes. A l'occasion de l'année Saint Benoît et de l'année du Patrimoine, il réalise pour le CENTRE EUROPEEN D'ART SACRE une exposition sur le thème du cloître. |
1980 |
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1979 |
"Langage symbolique et approche du Sacré" Publication de "FORMES CELESTES ET IMAGES DE CE MONDE" audiovisuel où Gilles Alfera montre la proximité de son travail avec l'esprit de l'Art Roman. Présentation des oeuvres peints par Olivier Clément FORMES CELESTES ET IMAGES DE CE MONDE |
1978 | Salon "Réalités Nouvelles", Paris. |
1977 | Salon "Grands et Jeunes", Paris. Festival internationnal de Passau (Allemagne)-Invité pour présenter la section Francaise de peinture |
1975 | Galerie "Sangri-La" Paris. Préface de Max POL-FOUCHET |
1972 |
Les éditions Bénédictines de l'Abbaye de la Pierre-qui-Vire consacrent un numéro de la revue ZODIAQUE à sa peinture:
"D'une peinture moderne symbolique" Salon d'Automne. Paris INTRODUCTION DU PERE ANGELICO SURCHAMP L’HOMME a besoin, non seulement d'une nourriture spirituelle, mais de mystère, de rites, d'expressions symboliques où le geste dépasse l'expression affective ou sensible, l'efficacité pratique ou la pure esthétique. N°93 DE LA REVUE ZODIAQUE juillet 1972 |
1971 | Club des Poètes". Préface de Jean-Pierre ROSNAY . Paris |