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À ton nom s'ouvrent
mes yeux plus grands encore
aux murs de notre chambre
où nos amours vécurent
pour la faire belle de nos baisers tendus
La mémoire murmure ton nom ami
bruissements lointains de paysages vierges
froissements d'images au miroir des souvenirs
la raison ne peut taire ce qu'elle ne peut saisir.
(Anna)
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